Monsters of folk [7/10] / by herwannperrin

 

Une découverte Télérama qui ma foi n'est pas mal du tout,  un album tout a fait homogène qui se laisse écouter doucement, de bon matin non pas pour vous réveiller mais pour vous laisser un moment de répit entre deux états ; c'est parfois bien agréable de se laisser porter?

Une composition équilibrée et rythmé qui permet une acclimatation de genre. Les guitares sont là pour vous guider dans ces morceaux qui montent doucement comme Map of the world. Avec Magic Marker, on se rapproche des Beatles. The sandman, the brakeman, une belle balade a découvrir dans le vent avec Bob Dylan Blowing in the wind? Temazcal est plus trippée, on sent d'autres influences, le désert ne doit pas être loin ainsi que la lune et la poussière?.Losing your Head bouge un eu plus. Par contre, Baby boomer nous emmène ailleurs, un autre rythme que j'aime moins? tout comme ahead of the curve mais par contre vous allez adorer His mater's voice un morceau folk jusqu'au bout des doigts..

"Une impression confirmée par l'écoute des nombreux titres d'un solide folk-rock enjoué, simple mais accrocheur (proche de l'esprit du récent Hold Time, de M. Ward), chanté en harmonie, qui constituent la moitié du répertoire de l'album. Des chansons agréablement banales (comme de l'America non anémié, alternatif) qui ne servent qu'à mettre en lumière une poignée d'authentiques perles dont on retiendra, entre autres, le plaintif et quasi soul Dear God (avec la voix de tête de Jim ­James) et, plus encore, une paire de poignantes balades d'Oberst : Slow down Jo et, surtout, l'envoûtant Temazcal."

 

Bien entendu, plus d'écoute sur leur espace My space et l'album sur Spotify?