Bongo Rock de Incredible Bongo Band / by herwannperrin

Voilà que je découvre par l'entremise de Mister N. L'Incredible Bongo Band et son Bongo Rock de légende. C'est vraiment un disque qu'il faut écouter car d'une part il est très bon tout simplement puis deuxièmement parce qu'il vous donne la pêche à toute heure du jour et de la nuit et troisièmement parce que vous en connaissez les mélodies qui font partie de votre substrat culturel immédiat... Il sert à tout un chacun Dj et autres musiciens pour revenir aux sources, c'est en direct des années 70, 1973 pour être plus exact et d'après ce qu'en dit un site c'est un must have : "c’est une chevauchée fantastique qui déboule, mêlant pulsion africaine, rock psychédélique, surf music, cosmic funk et bien d’autres chimies bâtardes hautement inflammables. Déconseillé aux cardiaques".

Lisez l'article qui en est fait sur Chronic'Art puis écoutez déjà sur You Tube Apache par l'Incredible Bongo Band vous serez tout de suite dans l'ambiance, c'est de la dynamite. Ah oui, j'oubliais, ils ont un espace dédié sur My Space alors écoutez les également, cela vaut le détour encore une fois... et pour plonger dans les racines du groupe et de l'album et en connaître un peu plus, la critique plus détaillée de l'album du Bokson.net mon fanzine musical préféré....

A ce titre, on notera quand même : "La liste des artistes ayant samplé depuis les morceaux de Incredible Bongo Band ressemble au Who’s Who du hip hop, de la jungle naissante et de l’electro: Grandmaster Flash, LL Cool J, Run DMC, Beastie Boys, Ultramagnetic MC’s, The Roots, Jurassic 5, Missy Elliot, Coldcut, Goldie, Portishead, Massive Attack et des dizaines d’autres. L’un des derniers en date n’étant autre que Nas sur son single «Hip Hop Is Dead»…Ce pillage en bonne et due forme se conforme presque à la logique des choses quand on sait que le succès du groupe de Michael Viner est surtout dû à ses reprises revisitées de chansons pop du début des 60’s, comme le «Apache» des Shadows (sorte de générique de western à la sauce surf), le «Let There Be Drums» du batteur Sandy Nelson (surtout connu à cette époque grâce à la précédente reprise de The Ventures datant de 1963) ou même le «Satisfaction» des Rolling Stones (pourtant moins jouissive que les deux autres). "

Enfin voilà vous êtes prévenus, maintenant c'est à vous de jouer et surtout d'écouter et de vous en imprégnier...