Voilà quelques jours maintenant que j'écoute un peu en boucle (grâce à L.) il faut l'avouer Cross de Justice, un petit trésor dans le domaine del'electro-pop-rock endiablée, ils sont français en plus alors n'hésitez plus et écoutez-les c'est de la dynamite, tout simplement. Cela part tranquillement mais très sûrement avec Genesis et puis il y a DANCE of course et encore c'est juste le début, vous allez écouter d'une traite ce superbe album qui vous entraînera vers des confins de longtemps inécoutés...
Retrouvez-les évidemment sur leur espace My Space pour écoutez entre autres Dance et Minimix et avec minimix vous allez vous envoler, il faut lui donner un peu de volume à ce groupe, il a besoin d'espace et de vie. Pour les chanceux qui ont des places dont je ne fais malheureusement pas parti... ils passent le 6 juillet au carrousel du Louvre (si vous avez une place en rab, je suis preneur...) C'est dans le cadre du Nokia Trends Lab (avec Clap your hand and say yeah, the Rapture,...) Sinon, pour info, ils sont deux, c'est la french touch qui est à l'honneur, qui est de retour alors on se prend par la main et on y va car c'est du tout bon... You hou
Et on peut lire dans mon magasine en ligne préféré du moment en matière de musique "«†» n’attendra pas plus longtemps que l’entame de «Genesis» pour annoncer la couleur: un début en fanfare annonçant l’assaut, et un beat ultra-efficace qui n’est pas sans rappeler «Thriller» du petit Michael. Celui là même qui, avec ses frangins, se rappelle à notre bon souvenir sur «D.A.N.C.E.», ce nouveau tube house chanté, imparable, également inspiré du «Stand On The World» de Larry Levan, et qui a pris l’habitude de squatter les ondes radiophoniques comme les génériques télés. Une influence pour deux optiques bien distinctes qui permettent de discerner les deux traits de caractère de Justice. L’autre plus extrême comprise, cette face obscure du duo déjà perceptible sur «Waters Of Nazareth», un deuxième maxi aux sonorités stridentes, aux basses qui vous boxent le thorax, le tout à un niveau de compression et de saturation rarement atteint. Dans un même registre, mais en plus mélodiques, «Let There Be Light» et «Phantom» ne sont pas mal non plus". Lisez la chronique en entier sur Bokson
Et puis sinon, il y a également le site internet de Justice