Passage photo & son vernipassage

Un passage photo accompagné d'un vernipassage, mais qu'est-ce donc ?Eh bien figurez-vous qu'il s'agit tout simplement d'une rencontre associée à une déambulation urbaine.Un collectif de 8 photographes (Celine Huard,Vincent Bousserez, Georges Grosz, Serge Bacheré, Emmanuelle Bensimhon, , Sandie Carol Dugnac, Eric Chatron et Claire Petit) a décidé de monter un projet photographique à la croisée du street art et de l'exposition artistique. L'idée est d'exposer dans le cadre de la ville, et plus particulièrement à Vitry-sur-Seine, des photographies dans l'espace urbain de manière similaire aux graffitis.Ces photographies sont accrochées/affichées sur des espaces dédiés: des résidences de manière à la fois à interpeller les passants et à partager avec eux une passion, un thème photographique. Une démarche participative, citoyenne et artistique bien entendu.Le verni passage permettant de se retrouver dans un lieu dit afin d'expliquer la démarche artistique et photographique dans lequel s'inscrit cette initiative. Un projet qui a pour vocation évidente de s'ouvrir et intégrer d'autres artistes afin d'essaimer dans la ville.Le verni passage sera également l'occasion de partir à la découverte des 8 premières œuvres choisies collectivement afin de les dévoiler tout au long d'un parcours dans Vitry. Les photographies dévoilées à cette occasion resteront en place quelques temps avant de se mouvoir vers d'autres espaces, murs et se démultiplier.Aussi, venez nombreux le 16 mai prochain afin de découvrir avec les artistes un projet, un parcours photographique, une carte et un territoire dans lequel s'inscrit cette démarche.Pour un avant-goût rapide ce que qui vous attend lors du verni passage, regardez le petit teaser qui est des plus explicitesLe rendez-vous, c'est au pied du Restaurant émérite Le Casanova (57 avenue Danielle Casanova 94400 Vitry sur Seine) qui vous charmera d'entrée de jeu, c'est à 18hPour plus d'informations sur le projet, vous pouvez visiter www.passagephoto.com (ouverture complète du site prochainement).

La vie d’adèle d’Abdel Kechiche : film versus bande dessinée

Il y a peu de temps, je suis tombé sur la vie d’adèle en Bande dessinée qui est d’une grande beauté. J’ai vu il y a peu la vie d’adèle d’Abdel Kechiche avec notamment Léa Seydooux & Adèle Exarchopoulos. Honnêtement j’ai été assez déçu de cette vision par rapport à l’histoire telle que décrite dans la bande dessinée.L’histoire contée, que cela soit en regard de la bande dessinée ou pas d’ailleurs en est par trop caricatural, forçant notamment les traits sur l’aspect social de cette relation entre 2 femmes, 2 milieux, 2 univers. D’un côté l’artiste, la culture, la bourgeoisie, l’émancipation ; de l’autre une jeune fille issue d’un milieu modeste ou la valeur du travail prédomine, un tantinet homophobe, sans profondeur ni âme, le plat principal se réduisant à de délicieuses spaghetti bolognaise devant la télévision.Certes, une histoire d’amour entre deux femmes, une découverte de l’un et de l’autre ; de ses désirs et de la vie mais cela manque un peu de profondeur et d’ouverture. L’histoire des deux femmes est bien plus forte dans la bande dessinée, s’ouvrant déjà sur un drame, une histoire plus vraie moins perdue dans les plans fixe sur Adèle ; peut-être aurait-il dû la faire se perdre dans la mer, la plénitude retrouvée mais à la fois ce n’est pas le caractère profond d’adèle que de se perdre.Deux personnes à l’opposé finalement qui s’éloigne de par leur quotidien, leur incompréhension, leurs envies, leur milieux.Au final, il ne reste au final que peu de chose commune avec l’histoire originale, peut être les quelques morceaux de lycées et une mèche bleue.Et si je n’avais pas lu la bande dessinée, eh bien je pense que je dirai quelque chose de similaire, c’est trop criant de voir cette fille perdue.

Hot Dreams par Timber timbre

Nouvel album assez hallucinant et paisible que je ne saurai que vous conseiller tant il est doux et beau. Un peu de mystère et de maisons hantées derrières ces évanescentes, une ambiance folle ou la nuit, le crépuscule et l'aube se mêle, l'aune d'une nouvelle ère qui pointe...Le groupe canadien de folk-rock s'est forme en 2005 et est composé de Taylor Kirk, Simon Trottier et Mika Posen. 5 albums à leur actif : Cedar Shakes - 2006, Medicinals - 2007, Timber Timbre - 2009, Creep On Creepin' On - 2011et Hot Dreams - 2014, je vous conseille également l'écoute de Creep On Creepin' OnTimber Timbre - Hot Dreams [Official Video] from Arts & Crafts on Vimeo.>

Grand central

A vrai dire un peu déçu par ce film que je pensai être sur les travailleurs temporaires du nucléaire. C'est le cas mais plutôt lié à une histoire romantique enfin à ce qu'il peut y ressembler. Mais cela vaut quand même le coup.On retrouve OLivier Gourmet dans un rôle d'encadrement de jeunes recrus car il faut bien faire avec et on suit trois loustics, surtout un d'ailleurs dans cette vie dans les sursis de la dose, cet ennemi mortel qui est là, tapi dans l'invisible, sournois et toujours à l'affût de la moindre erreur, fuite; celui par lequel la mort vient, une tirade d'Olivier Gourmet sur le sujet en dit longSous couvert, il est aussi question du statut des agents EDF vis à vis des agents qui font le tour des centrales, il y a quand même quelque chose de malsain dans cette prise en charge des centrales nucléaires par une population qui n'est pas forcément aussi bien suivi que ce qu'elle devrait, une vie d'intime rance et de sursis pour ces travailleurs hommes et femmes qui sont dans la précarité la plus complète et démuni face à des événements en dehors de leur pouvoirUne vie de famille qui semble bien difficile à gérer loin des siens alors que des romances et des amours se nouent pour d'autres dans l'âge de l'innocence.Je vous conseille vivement de lire le livre la centrale d'Elisabeth Filhol...

Albator est de retour....

Albatros alias Captain Harlock, alias le pirate de l'espace est de retour avec un film d'animation qui revient sur la destinée de ce jeune capitaine dont la légende veut qu'il soit éternel, avec à ses côtés son équipage dont la célèbre et magnifique Mime, la dernière des Nibelungen qui voguent dans l'espace intersidéral depuis bientôt 100 ans pourchassés sans répit par la Gaia qui prône une absence de retour sur la terre, territoire sacré.C'est sans compter sur l'arcade à vaisseau cuirassé mythique d'albatros issu des anciennes guerres et fonctionnant à la matière noire, autosuffisant, sans limites, se réparant de lui-même, il parcours l'espace pour poser des bombes dimensionnels suivant en cela la théorie des nœuds du temps qui nécessite pour être désentrelacés une quantité importante d'énergie repartie sur différents points névralgiques. Mais est-ce la seule solution ? La bonne solution ?Infiltré par Gaia, Albator va devoir s'en remettre à l'espoir, à cette étincelle de vie et de miracle qui survient dans un monde de chaos pour faire face, combattre l'adversité et sauver en verset contre tout la terre et redonner espoirs l'humanitéSans être exceptionnel, un retour aux sources après Albator 78 qui reste quelque part inégalable ...