La fête du graphisme à la cité de la mode

Allez faire un tour à la cité de la mode sur la Seine, juste à côté du jardin des plantes et de la Gare d'Austerlitz. Un endroit d'une part assez sympathique pour naviguer, se promener loin de la folie parisienne tout en étant en plain Paris.La fête du graphisme ou plus de 150 affiches qui vous inspireront, vous feront sourire, vous ferons vous rappeler d'un groupe de musique, d'une vision, d'un moment. Une exposition à la galerie anatomie, un espace ou il faut bon se promener, prendre le temps de regarder, d'écouter ou même de participer pour quelques enfants.Voilà un bon moment à passer

Dérobés par Sophie Calle à la galerie Perrotin

Le retour de Sophie Calle avec trois projets en un si l'on peut dire.Qu'allez vous voir dans cette exposition qui se décompose en trois salles, trois situations différentes et similaires en quelques sorte. Le lien est la perte, l'absence qui s'en dégage et ce qui reste évidemment au-delà, la perception que l'on peut avoir quand le rien est la qui prend la place de que qui étais, l'imagination, la sensation, la vision, prenne le relai pour faire de ce rien autre chose, une autre œuvre qui sera changeante, mouvanteAlors de quoi s'agit-il ? Eh bien de : que voyez-vous ?, « Tableaux dérobés et Le Major Davel correspondent aux situations suivantes et sophie Calle a demandé à quelques personnes de lui décrire ce qui voyait à travers ces tableaux, vides, ces miroirs de leur âmes perdue dans laquelle ils se projettentA voir, lire, extrapoler en tout état de cause....« Que voyez-vous? »,Le 18 mars 1990, six tableaux de Rembrandt, Manet, Flinck et Vermeer, cinq dessins de Degas, un vase et un aigle napoléonien furent dérobés au musée Isabella Stewart Gardner de Boston. Les cadres des peintures de Vermeer, de Flinck et de Rembrandt avaient été abandonnés sur place.En 1994, après restauration, ils furent à nouveau accrochés à l’emplacement qui leur revenait, délimitant ainsi l’absence. J’ai demandé aux conservateurs, aux gardiens et autres permanents du musée, ainsi qu’aux visiteurs, de me dire ce qu’ils voyaient à l’intérieur de ces cadres.« Tableaux dérobés », 1994 - 2013A la suite des vols d’un tableau de Lucian Freud et de deux Turners qui appartenaient à la Tate Gallery de Londres, d’un Picasso, dérobé dans la galerie Richard Gray à Chicago et d’un Titien, chez le marquis de Bath à Longleat House, j’ai demandé aux conservateurs, gardiens et autres permanents des musées, galerie ou collection, de me décrire les oeuvres disparues.Le Major Davel », 1994Dans la nuit du 24 au 25 août 1980, au musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne, le tableau de Charles Gleyre, Le Major Davel, fut partiellement détruit par le feu à la suite d’un acte de vandalisme. Il ne reste de la toile que le soldat qui pleure, en bas, à droite. J’ai demandé aux conservateurs, aux gardiens et à d’autres permanents du musée de me décrire la partie manquante de l’oeuvre.Galerie Perrotin : www.perrotin.com10 impasse saint Claude 75003 Paris, elle est aussi accessible au 76 rue de Turenne et cela communique

État des lieux du street art à la galerie du jour

A l'instaurer de quelques galeries du début, retrouvez à la galerie du jour ou galerie Agnes B quelques unes des artistes qui marquent la scène actuelle du street art et pas des moindres s'il vous plait.Trois grands noms que vous aurez sûrement l'occasion de croiser lors de vos pérégrinations pédestres avec Ludo, philippe baudelocque et 36recyclab qui sont dans les murs mêmes de la galerie, vous ne manquerez pas également quelques unes des œuvres de Monsieur qui, Poch, Seth pour mes préférés exposés ou suivis par la galerieAvec Ludo, c'est la poésie qui se déroule et une période verte pleine de vie... Pour baudelocque, c'est un univers entier que se dessine et s'entremêle pour un résultat toujours plus inspirant, quand a 36reclyclab, c'est le deconstructionisme en action avec ces structures aux allures architecturales.Philippe baudelocque : http://baudelocque.comLudo : http://www.fatcap.org/artiste/ludo.html36recyclab : http://www.flickr.com/photos/36recyclab/Galerie du jour44 rue quincampoix - 75001 Parishttp://www.galeriedujour.com/

Jorge Rodriguez-Gerada à la galerie Mathgoth

Jorge Rodriguez-Gerada, un artiste que je ne connaissais pas vraiment jusqu'à il y a quelques mois où il s'est inscrit dans la ville de Vitry sur Seine par une oeuvre géante sur un pan d'immeuble, oeuvre d'ailleurs que je ne trouve pas forcément des plus réussi.nénamoins, après la lecture de son interview dans Graffitis n°19, je me suis laissé tenter d'aller voir ses oeuvres à la galerie MathGoth que je ne suivais que d'un oeil, les artistes représentés n'étant pas dans mes préférés. me voilà donc parti près de la BNF pour découvrir le travail de cet artiste et la galerie dans le même temps.Pbjectif atteinte, une êtite galerie qui met en oeuvre de belles oeuvres de Jorge Rodriguez-Gerada, des textures urbaines et des visages, des yeux sous toutes leurs coutures qui vous regardent, vous interrogent, vous percent aussi pour certains, des yeux de femmes, d'hommes, à vous de les découvrirComme on peut le lire sur le site de la galerie "la série « Identity utilise les méthodes du marketing actuel et redonne à l’anonyme la place qui lui revient dans la ville. L’artiste réalise des portraits géants hyperréalistes de monsieur et madame Tout-le-monde. Aucun produit à vendre! Ces visages deviennent des icônes sociales et créent une véritable poésie ouvrant au dialogue dans les quartiers. Jorge Rodriguez-Gerada travaille sur de vieux murs texturés, au fusain « pour sa transparence et son côté éphémère » Voilà alors n'hésitez pas et rendez-vous à la galerie Mathgoth où l'exposition est en place jusqu'au 9 novembre et visitez le site web de l'artiste de Jorge Rodriguez-Gerada http://www.jorgerodriguezgerada.com/Galerie Mathgoth34, rue Hélène Brion - 75013 Paris

Portraits de Stéphane Carricondo avec Ur­baet­nism

De très beaux portraits découverts par hasard qui m'ont permis d'envisager le travail de Stepahne Carricondo sous un autre jour.Vous connaissez peut être ses portraits plus réels, un peu à la manière de Toppi. Avec cette série il s'oriente plus vers l'abstrait et nous laisse à deviner l'esprit qui hante chacun de ces tableaux.Les influences anthropologiques et ethnologiques sont la qui ressortent pour nous donner à voir des portraits d'un autre genre.L'exposition chez Open Space a débuté le 21/09 et se termine le 12/10, avis aux amateursPlus d'infos sur http://www.stephanecarricondo.com/ et sur http://www.openspace-paris.fr