Fenêtre sur un monde intérieur

Fenêtre sur un monde intérieur
Dans le jardin secret, derrière la porte enseveli, se cache les trésors d\\\'antan.\"Comme tu surgis d\'antan, arrivant,éblouie, pâle étudiante.Et les mois dilatés et fixe réclamentEncore la consolation de ta voixSes yeux luttaient comme des rameursdans l\'infini mortavec un espoir de rêve et de matièred\'êtres surgissant de la mer.du lointainoù diffère le parfum de la terreet c\'est en pleurant qu\'arrive le soirapparu dans ses sombres coquelicots.dans la hauteur immobile des joursl\'insensible jeune home diurnes\'endormait sur ton rayon de lumièreet c\'est comme une épée qui l\'aurait soutenu.Pednant ce temps pousse dans l\'ombredu long parcours accompli dans l\'oublila fleur de solitude, humide, vaste,comme la terre dans un long hiver.\"Fantôme, Résidence sur terre, Pablo NerudaDans le jardin secret, derrière la porte enseveli, se cache les trésors d\\\'antan.\"Comme tu surgis d\'antan, arrivant,éblouie, pâle étudiante.Et les mois dilatés et fixe réclamentEncore la consolation de ta voixSes yeux luttaient comme des rameursdans l\'infini mortavec un espoir de rêve et de matièred\'êtres surgissant de la mer.du lointainoù diffère le parfum de la terreet c\'est en pleurant qu\'arrive le soirapparu dans ses sombres coquelicots.dans la hauteur immobile des joursl\'insensible jeune home diurnes\'endormait sur ton rayon de lumièreet c\'est comme une épée qui l\'aurait soutenu.Pednant ce temps pousse dans l\'ombredu long parcours accompli dans l\'oublila fleur de solitude, humide, vaste,comme la terre dans un long hiver.\"Fantôme, Résidence sur terre, Pablo Neruda

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