Minuscule

Minuscule ou un film d'animation dont les acteurs principaux ne sont autres qu'une fourmi et une coccinelle. Les critiques m'avaient bien vendu cet opus d'animation avec quelques grandes thématiques sur un fond rousseauiste ce qui n'avait pas manqué d'attirer mon attention.Le résultat est au final assez décevant à l fois pour les grands mais aussi pour les petits. La 3D n'a que très peu d'intérêt autre que le supplément, l'histoire est on ne peut plus basique et sans aucune surprise, les personnages sont muets enfin ils parlent insectes et à part l'histoire d'imiter entre la fourmi et la coccinelle il n'y a pas grands choses sauf peut être la petite poursuite entre fourmi rouges et noires mais la encore on y croit pas franchementA éviter à mon humble avis

12 Years a Slave par Steve McQuee

L'esclavagisme vu par Steve McQueen avec 12 Years a Slave, ou le récit, tiré de la vraie histoire de Solomon Northup, de son kidnapping et des 12 années d'esclavage qu'il a subit dans les états du sud des États-Unis du fait qu'il était noir, tout simplement...Suite à son enlèvement, il ne renonce pas mais les coups de fouets, l'arbitraire, la violence, la petitesse des gens et parfois la grandeurs un homme embourbé dans son époque font qu'il ne peut pas s'enfuir alors qu'il est un homme libre.L'enfermement, l'absence de famille, de lecture car les noirs n'étaient pas sensé savoir écrire ou lire, exilé au milieu de ces plantations avec des maîtres souvent à moitié fou. La survie est difficile et il n'y a pas d'entre aide possible. La fin est souvent proche, elle ne se joue qu'a un filL'enfer blanc entre ambiance ku klux klan, lynchage, ... Et fin de vieIl devra attendre dans cet enfer près de 12 ans avant qu'une lettre puisse parvenir à sa famille et qu'il soit enfin libéré sans que ces ravisseurs soient au final très inquiètés.Un film qui finalement me laisse un peu sur ma fin. Effectivement, la violence est la, toujours prégnante et l'horreur se propage mais il manque quand même l'aspect psychologique, le délabrement physique et mental des ces hommes, femmes pour lesquels il n'y a pas d'issue, pas d'autres échappatoires que celle de subir leur maître. Une horreur sans nom qui ne nous explique pas non plus l'esclavagisme aux États-Unis.

Edward Sharpe and the Magnetic Zéros à L'Olympia

C'était hier à L'Olympia que se produisait Edward Sharpe and the Magnetic Zéros.Un petit groupe qui m'a fois est bien sympa. J'en avais déjà parléi ci il y a de cela quelques temps. Pour ceux qui ne ne souviendrait pas, Edward Sharpe and the Magnetic Zeros est un groupe californien, fondé par d’Edward Sharpe (alias Alex Ebert) et composé d'une dizaine de musiciens dont Jade Castrinos.Que propose t-il ? Ma foi un ensemble assez hétéroclite qui vous plaira indéniablement, un mélange de genre de folk songs assez azimutées et psychédéliques. A l'écoute, la voix d'Alex Ebert ne ressemble pas à ce qu'il est, ce qu'il fait sur scène, il est un peu barré à dire vrai, un de ces mélanges attachant et irrésistible à la Jim Morrisson quelque part. Un groupe qui a coup sur à le sens du rythme, des mots et de la scène.Des chansons qui tout a la fois vous emballent, vous dynamisent, vous étreignent et vous prennent, un ensemble dynamique, un Alex Ebert qui joue avec le public, sur la scène, des musiciens qui chantent, qui s'amusent cela se voit et qui forment un tout qui renforce cette cohésion d'ensemble.Un concert tout à fait sympa, bien enlevé en espérant que vous avez appréciés ou que cela vous aura donné envie d'y aller une prochaine fois voire de les découvrirOn écoutera évidemment Man on Fire, Child, all wash out, Dear believer de l'album Here, If i were free, Rember to remember sur le dernier album, blak water, 40 Day dream et Home d'up from below pour commencer...

Les revenants

Un petit retour sur la série Les revenants que m'avait conseillé naguère ma sœur mais que je n'avais pas eu le temps de voir. Une seule saison avec une autre saison en préparation qui devrait être diffusée à l'automne prochain.8 épisodes pour nous raconter une histoire étrange, bizarre. Imaginez vous dans une petite ville de montagne dominée par un barrage et qui voit revenir de l'autre monde des personnes de différentes époques : Camille, une jeune adolescente qui a succombé dans un accident de car en 2008 ; Simon, un jeune homme qui s'est suicidé en 2002 ; Victor, un petit garçon qui a été assassiné par des cambrioleurs en 1977 ; et Serge, un tueur en série tué par son frère en 2005.Que feriez-vous ? La peur est là, ils sont bien de chair et de sang, il ne s'agit pas forcément de zombies sanguinolents, mais que font-ils là, d'où viennent-ils ? Que font-ils ici et pour combien de temps ? Certains ont peur, d'autres ne savent pas quoi en penser certains pensent que c'est un signe et que le monde va changer.D'autres phénomènes étranges surviennent dans cette ville de plus en plus isolé du monde, du temps.Une bonne petite série que je vous conseille vivement qui vous mettra l'eau à la bouche,

Rush

Un petit film qui ma foi se laisse voir sur la rivalité entre James Hunter et Niki Lauda dans les années 70 et particulièrement en 1976 où. Se dispute âprement le titre de champion du monde de formule 1Deux hommes au destin peu commun, qui se sont mis à l'écart de leur famille pour vivre leur passion très différemment. James Hunter est le dandy, boyscout à la vie dissolue qui brûle la vie et est prêt à mourir alors que Niki Lauda est posé, calculateur, pesant toujours les risquesCela débute en 1970, lors de leur rencontre dans un grand prix de formule 3. Ils arrivent tous deux en F1mais Niki Lauda de par son audace, sa ténacité, son sens de la mécanique et des affaires arrive à avoir une place auprès de Clay Regazzonni puis est ensuite embauché par Ferrari et devient champion du monde en 1975 alors que Hunter cherche désespérément une place car son écurie a mis la clé sous la porte, il sera in extremis pris chez McLaren.La compétition fait rage en cette année 1976 jusqu'au terrible circuit de Nürburgring, le plus dangereux du parcours et Niki Lauda propose aux pilotes d'annuler la course en raison de conditions météorologiques défavorables, ils refusent. Le 1er août 1976, durant la course Niki Lauda à un terrible accident et s'en sort in extremis, gravement brûlé et revient dans la compétitionUne histoire vraie, une histoire de respect aussi et de compétition et également les dessous d'un sport extrême ...