The green hornet par Michel Gondry

Un film de genre, entre Kick Ass et un film de super héros qui ma foi se laisse voir sans pour autant être d'un grand intérêt qu'on se le dise.

Le scénario n'est pas très original, c'est le moins que l'on puisse dire, les acteurs sont certes sympathiques mais il n'en demeure pas moins que l'on ne gardera pas un souvenir impérissable de ce moment passé avec Michel Gondry

Voilà, dans le style cela se laisse voir et pour l'histoire : un fils d'un grand patron de presse se découvre un nouveau destin, celui d'être un héros avec un grand H secondé par son chauffeur, homme à tout faire véritable tête pensante et tranchante de l'équipe. Il essaye de se venger en cela de son père mais commence à comprendre les histoires dans lesquelles étaient mêlées ce dernier? Les rapports entre politique et crime ne sont pas toujours si éloignés que l'on peut le penser?

Love & drugs d'edward Zwick (2/10)

Pas besoin de s'étaler très longuement sur cet ersatz de film. Au départ n s'était dit, pourquoi pas une petite comédie romantique, c'est de saison

Mais avec celle-ci, il n'y a tellement rien que cela ne vaut vraiment pas le coup. Certes Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway ont de belles gueules comme on le dit souvent mais cela ne fait pas un film d'autant plus qu'en arrière plan, c'est la maladie de Parkinson qui est au c?ur de la relation entre Gyllenhaal et Anne Hathaway
Très peu d'intérêt, à éviter

Journées Internationales du film sur l'art au Musée du Louvre

 
S'ouvre à partir du 26 janvier au coeur du Musée du Louvre les Journées Internationales du film sur l'art au Musée du Louvre (JIFA) qui vont permettre de porter un autre regard sur l'art cinématographique.
 
Je ne pourrai y assister du fait d'un emploi du temps bien chargé mais voilà cela peut être intéressant de découvrir à travers cet évènement une autre facette à la fois du cinéma et de l'Art.
 
Vous y retrouverez par exemple jeudi 27 à 16h un film intitulé « Filmer l'acte de création » : André S. Labarthe et la peinture ou encore le 29 janvier à 14 la furreur de Picasso et un film de cédric Klapisch le 30 janvier sur Aurélie Dupont de l'Opéra de Paris
 
Plus d'informations sur le site du musée du Louvre

Somewhere de Sofia Coppola (6,5/10)

Assez minimaliste que ce nouvel opus de Sofia Coppola.

On a du mal à se situer au départ. Qui est Johnny Marco ? que fait-il ? il est seul et habite au Chateau Marmont à Los Angeles; une vie de dilettante, sans grand intérêt. Petit à petit on comprend ce qu'il est plus ou moins, ce qu'il représente. Lorsqu'un matin débarque une jeune fille bien sympathique, c'est sa fille, Cléo, elle a 11 ans et vit chez sa mère mais celle-ci a un coup de blues, son père va devoir s'en occuper.

Il part avec elle et commence à réaliser la vie d'artifice qu'il a, une vie qui n'est pas adaptée à celle-ci, une vie sans réel intérêt à vrai dire

un film qui du coup n'est pas foncièrement très intéressant, plutôt l'ambiance mais cela ne fait pas tout, loin de là... Il reste quelques épisodes amusant notamment le numéro des jumelles à la barre dans l'hôtel, un petit numéro extatique, sorti de nulle part; la petite partie de jambe en l'air au matin, ou encore la vision du maillot si typique de ce genre de vie...

The Tourist de Florian Henckel von Donnersmarck (6/10)

Un film qui se laisse voir ma foi, une belle et charmante femme est suivie, c'est angelina jolie; elle doit semer la police et prendre le premier train pour Venise et choisir un homme dans le train afin que la police pense que c'est alexander pierce l'homme qu'elle aime et qui a disparu il y a plus de 2 ans avec une coquette somme qu'il a lui-même dérobé à un gangster.

L'homme qu'elle choisi de façon inopinée n'est autre que Johnny Depp qui passe très bien avec sa nonchalance légendaire dans ce rôle de Touriste américain embarqué dans une histoire qui le dépasse carrément... laissez le charme agir

Rien d'exceptionnel mais cela se laisse voir...