BLOG CULTUREL
Appleseed
Voilà le rythme du ciné a repris, malheureusement, mal, j’aime bien les mangas mais alors celui-ci est un peu trop simplifié et moralisateur on commence la bible et on finit par une petite phrase assassine sur le péché, rien de tel pour se sentir concerné… On se croyait dans un jeu même si je ne suis pas un joueur c’est vraiment ça le sentiment qui transpire… d’ailleurs le contraste entre les paysages pratiquement réel et els personnages factices surtout de par leur couleur et leur manque de traits appuyés est décevant. Il y a un peu trop de mitraillettes pour pas assez d’histoires enfin dans ce monde de l’après guerre apocalyptique, deux mondes essayent de s’équilibre entre les bioroides et les hommes l’équilibre instable ou le mythe de l’Eden s’affrontent, le mal est-il au coeur de l’homme ? la survie est-elle notre seule porte de sortie, l’avenir est-il déjà écrit… pas de question posé, sans réponses pour autant enfin simplifié à l’extrême, l’intrigue n’est malheureusement pas bien monté et peu vraisemblable, quelques scènes sortis d’un chapeau russe… et puis côté musique, la bande son ne colle pas vraiment à ce que l’on aurait pu attendre… en deux mots, peu mieux faire, se laisse regarder mais franchement sans plus…
Le site du film : http://www.appleseed.fr/
Festival Silhouette Courts métrages
Bon, un peu en retard mais c’était tellement bien cette soirée de courts métrages dimanche soir et sa sélection européenne que je me suis dis que d’une manière oud ‘une autre il fallait que vous puissiez les découvrir, où au moins ne pas ratez cet évènement que je suis depuis le début et qui était répartie sur une longue semaine cette année, malheureusement, je n’ai pu voir qu’in extremis cette dernière partie mais cela valait amplement la peine.
Alors tout d’abord, pour ceux qui ne connaissent, pas, c’est le festival silhouette qui organise cela, pleins de gens sympas et passionnés de cinéma et qui font découvrir à nous public amusé, amusant et intrigué toute sorte de courts métrages, par thématique cette année. Dimanche, il y avait notamment :
# CASHBACK de Sean Ellis - Royaume-Uni, 2004, 18mn, fiction, 35 mm, LEFT TURN FILMS / UGLY DUCKLING FILMS
Ben est étudiant aux Beaux-Arts de Londres. Son imagination artistique est en ébullition lorsqu’il travaille de nuit au supermarché.
Mon préféré de loin, une charmante vision du temps passé et à venir sous l’œil attentif d’un étudiant en art…, la révélation dès son plus jeune âge… les femmes, tout un programme, très très réussi et d‘une très rare finesse…
# AILLEURS EN CE PAYS - EVERYTHING IN THIS COUNTRY MUST de Gary McKendry,
Royaume-Uni, Irlande du Nord, 2004, 20mn, fiction, 35 mm, SIX MILE PRODUCTIONS
Irlande du nord, 1985. Une adolescente doit choisir entre l’allégeance à son père catholique et la reconnaissance envers des soldats britanniques qui ont sauvé le cheval de la famille.
Le drame et la déchirure issue de la guerre et des erreurs des hommes, boulversants de vérité et de tristesse…
Un petit extrait ici
# FOR YOUR BLOSSOM de Gaku Kinoshita
Royaume-Uni, 2004, 5mn, animation, béta SP, ROYAL COLLEGE OF ARTS
Un garçon trouve son propre chemin.
La vie n’est sûrement pas droite et d‘une voie tracée, cependant il faut un peut se démarquer pour le comprendre…
# RÉUSSIR AU MIKLES - FARE BENE MIKLES de Christian Angeli
Italie, 2004, 17mn, fiction, 35 mm, VERDECCHIFILM
C’est l’histoire d’un frère et d’une soeur, Sergio et Maria, racontée à rebours, de l’âge adulte à l’enfance. Au fil des ans, ils ont inventé un jeu appelé “Mìkles” qui leur permet de survivre. L’a survie par l’évasion et l’imagination d’un frère et d’une sœur jusqu’à la délivrance…
EXOTICORE # de Nicolas Provost
Belgique, 2004, 27mn, fiction, 35 mm, NICOLAS PROVOST
L’histoire d’un immigré burkinabé et ses tentatives d’intégration dans la société norvégienne. Un film sur le fait d’être étranger, la solitude et la folie contemporaine.
La difficulté d’être à sa note exacte….dans une société
Vous pouvez retrouvez l’ensemble du festival sur le site de l’association à l’adresse suivante : http://www.association-silhouette.com/ et le programme en PDF ici
J’en profite également car ils sont en partenariats pour indiquer qu’une deuxième séance du festival sous la plage aura lieu le 18 septembre prochain de 14h à 23h au Parc André Citroën et que cela devrait être très cool aussi, au programme de la musique bien évidemment… pour plus d’infos, rendez-vous sur le site du festival sous la plage : http://www.souslaplage.com/ Il y aura notamment :
Dimitri plays & junior aspirin dj set
Taranta babujazz/musiques du monde et autres histoires
Matt elliott electro, songwriting et drum’n’bass Domotic abstract, ambient Komori live abstract breaks
Piano magic pop moderne
Et pour plus de détail le programme en PDF ici
La guerre des mondes
Et voici l’été arrivant les blockbusters qui en sont et qui ne veulent pas en être mais qui au final en sont quand même un peu… un peu décevant ce fil de Spielberg, je ne dis pas que les effets spéciaux ne sont pas bien fait, que c’est même assez spectaculaire mais la fin est déjà ultra décevante…et puis cette quête de la famille retrouvée (alias Tom Cruise) versus la vengeance avec Tim Robbins n’est pas si bien exploité, Tom Cruise n’arrive pas à se libérer de ses contraintes et sa réalité de père en devenir… à vrai dire pas spécialement un grand film, loin de là…
Les Poupées russes
Autant l’auberge espagnole m’avait laissé un peu sur ma fin et sur mon début aussi… autant les poupées russes m’ont bien amusé malgré le fait que l’histoire est finalement un peu auto-centré sur Duris mais il s’en sort plutôt bien même si j’aime bien son style dans « De battre mon cœur s’est arrêtée », une autre variation… Et puis accompagné de la charmante Wendy alias Keilly Reilly qui est un brin de fraîcheur et de beauté à l’état pur ; son discours et sa manière d’être sont plus qu’agréables… Un ensemble qui donne une bonne petite idée de certains questionnements qui viennent avec les années 30…à découvrir avec le plus grand des plaisirs
Madagascar
Madagascar sadresse comme maintenant beaucoup des dessins animés à la fois aux adultes par les multiples références et clins dil qui mont dailleurs échappés . Et aux enfants, éternels rêveur quadultes nous redevenons quelques minutes en se laissant happer par la joie de vivre et les aventures de ces petits animaux attirés par la vie sauvage
Le lion en roi des animaux est excellent, son dilemme est daller contre sa nature, les villes absorberait ainsi cette vivacité et cet état pur en gommant et amadouant les racines qui sommeillent en nous il doit bien avoir une partie de vrai dans cet état les pingouins et le plus savoureux moment correspondant à leur débarquement sur on lavait sûrement compris mais ils sont comme ils doivent être
Quand aux lémuriens, leur sens de la danse fera sûrement des émules cet été et le rythme est là entraînant à souhait une très belle épopée damis joyeux et loufoques ; la technologie a encore été exploitée de manière intelligente et le résultat est là dansant sous vos yeux, dommage que cela soit un peu court mais vous passez un bon petit moment