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Star Wars La revanche des Sith
Ainsi, la saga se termine , 28 ans après, et quel fin, une débauche deffets spéciaux vous attendent dans ces univers maintenant bien connus, des guerres sublimes et surtout le bruit fuyant des lasers bleus et rouges qui fendent lair ; la révélation vous attend au cur de cette revanche tant attendu des sith, derrière qui se cache Dark Sidious, vous sera révélé si vous navez pas déjà compris comme dirait le petit homme vert, lhumour des épisodes dantan est un peu de retour et quelque personnages qui ont bercé les débuts reviennent et lhistoire, se met en place pour que celle que lon connaissait se déroule limpidement. Anakin est au coeur de cette revanche dans laquelle par choix, mais quel choix il décide de basculer mais ces raisons sont quelques peu nobles (Delphine Valloire parle dune « loyauté inversée » du moins au début, vous en jugerez par vous-même, des scènes mythiques de combat au cur dune fournaise sans nom se déroule devant vos yeux ébahi, la légende de Vador commence, le côté obscur se révèle au cur de milles intrigues et la noirceur et la braise commence à le consumer alors et celle de Léia et Luke aussi volez brave gens voir cet opus intergalactique ; le jour ou la liberté disparaît sous un tonnerre dapplaudissement vous sera compté de la façon la plus simple et vous découvrez la démocratie palpitante .
Quelques extraits sur le site dArte
Une critique dAurélien Ferenczi
Papillon
Avec Steeve Mac Queen et Dustin Hoffmnan, un vieux film qui vaut la peine dêtre revu, je remercie humblement ceux qui me lont prêté, ils se reconnaîtront
sublime, mes souvenirs me faisant défaut et ce combat dun homme pour la liberté et la droiture font de cet opus un hymne à la vertu comme on en a rarement loccasion de les voir, la prison et ses inconvénients, là le bagne sont stigmatisés mais en est-on encore si loin peut être pas en France et encore je ne connais pas bien ce milieu mais au moins au Etats-Unis, nen demeure pas moins que la population carcérale souffre de labsence despace et quil faudrait remédier à cet état au plus vite. Pour revenir au film, sans jamais savoir sil est innocent, il ne peut que lêtre aux vues des épreuves quil traverse
Un grand grand film....
Lemming de Dominik Moll
Loin dêtre un aficionados du genre, je dois dire que si la première impression a été négative, je suis vite revenu sur mes propos en discutant avec qui de droit. Cest vrai, je lavoue haut et fort les deux charlotte ont la classe incarnée, la Rampling étant de fait dans une catégorie inatteignable à mon sens, ses yeux dun bleu qui vous transperce de part en part, cette scène rapprochée tout à fait mythique qui vous donne des frissons, qui pourrait lui résister et puis cette nonchalance tout à fait innée qui fait delle et des scènes quelle donne des petits morceaux de plaisirs inassouvis
Le mari est un peu douceureux, un peu dans son ancien rôle dans Harry un ami qui vous veux du bien, nempêche il est là au bon moment, avec sa web cam volante, leffet est garanti et sous la pluie battante, la histoire est simple et ne repose sur rien, voilà sa grande force, nous faire transpirer sur des absences, des sensations, sur rien en définitive, voilà la grande force de Dominique Moll qui nous convie dans son monde, rien de très complexe, juste un peu de fantaisie au milieu dune vie des plus ordinaires, le rouages se grippe et les ambiances changent,
Sinon, janus est de retour...
Les jeux de lumière sont exceptionnels, Dussolier dans un autre style reste lui avec son air bonhomme et ses manières étranges te familières, il est de la famille enfin presque
Pour les conseils, je ne saurai trop quoi dire, vu que je ne suis pas un grand fan du type mais pas mal quand même
Ultranova
Un peu chiant mais très beau, ambiguïtés sans nom, où ces films qui méritent dêtre vu mais qui laisse également un goût amer pour le citadin pressés qui attend une rentabilisation Il est vrai que la bande son est agréable, les plans fixes et lesthétique au rendez-vous, lhistoire et les vies glauques se chevauchent, tel une ribambelle de morts avant date ; faut-il un signe pour révéler sa vrai destinée et la reprendre en main, sûrement au final sauf à trouver dautres méthodes, enfin séveiller mais pas trop tard, car sinon, la fin est proche
Voix fluette de Dimitri, visage et tristesse de vies décalées dans une Belgique des campagnes environnantes qui rappelle labsence de vie quil ne faut pas atteindre ; je ne saurai que vous conseillez, la plupart sennuieront à mon avis mais assez intéressant malgré les idées et les réflexions qui ne manquent pas de survenir pendant la projection, vous avez le temps, de réfléchir
La critique de Julien Welter
La femme deau
Que se passe t-il lorsque le feu et leau se rencontre ; laccroche était faites, je me précipitai ; le résultat est en demi-teinte. LAsie recèle de ces petits moments et de ses petits mystères qui la rende unique ; des atmosphères surtout et puis une façon toute particulière dêtre et dévoluer dans le temps et lespace, derre aussi, car on ère pas mal ici aussi en parlant peu comme cela avait été déjà le cas dans Locataires et de façon très réussie.
On ne connaît que peu lhistoire profonde des protagonistes où on la devine au fur et à mesure, on image où on se laisse nous limaginer mais parfois il est difficile de dépêtrer cette tourmente et son sens Le mont Fuji est lui aussi changeant, tel un nouvel abîme dans lequel lhistoire sécrit et se réécrit couche après couche, année après année.
Leau élément essentiel tombe sans discontinuer ; ce couple est agréable à voir évoluer, les parties de badminton sont excellentes mais on perd quand même un peu le fil, où veut-on en venir faut-il dailleurs un sens profond autre que la vie et els destins croisés de leau et du feu, force antagoniste et finalement destructrice ou salvatrice. « Maman », personnage irréel, est une des clés, laquelle, je vous le demande, enfin, un bon petit voyage en eau limpide et très très très tranquille .